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Amis
- Alizée Bingöllü
- Clare Stovell
- Émilie Dosjoub
- Eva May Chan
- Isabelle Royet-Journoud
- Louise Ebel
- Maximilien Dumesnil
- Sandrine Ferreira
- Vincent Pianina
Archives mensuelles : septembre 2009
Mes premiers bocaux.
Depuis deux jours avec Vincent, nous travaillons à nos premiers bocaux pour décorer la cuisine. C’est une jolie petite collection qui débute. Quelques photos pour vous mettre en appétit.
J’ai très envie de cuisiner maintenant.
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Aujourd’hui Ödland a passé une audition au Nouveau Théâtre du 8e arrondissement de Lyon pour participer à des nuits de spectacle. La chanson du parasite et Sur les murs de ma chambre ont été présentés. Nous espérons être programmés dans ce théâtre, c’est un lieu agréable avec un piano.
Je serai en concert seul cette fois-ci, sur un piano à queue, dans la boutique de chaussure Hescung à Lyon, du 13 au 17 octobre. Je serai complètement libre et imprévisible pendant une semaine.
Today Ödland was on a casting in the NTH8 Lyon theater to participate to night events. La chanson du parasite and Sur les murs de ma chambre were played. We hope to be setted in this theater, this is a really nice place with a piano.
I will give shows alone this thime, on a great piano, in the Hescung shoes shop in Lyon, from 13th to 17th october. I will be completly free unforeseeable for a week.
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Avec des livres au fond.
Jouer dans une bibliothèque, c’est bien agréable.
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Pour les plus curieux, je ne mets ça nulle part ailleurs.
Il y a un nouvel instrument dans la famille.
Il y a un nouvel instrument dans la famille.
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Devenir sale.
Souvent, je lave mon corps. Je le lave parce qu’il est sale. Non pas qu’il soit sale en permanence, puisque parfois il est propre. J’ai particulièrement le corps propre juste après l’avoir lavé. En me lavant, je passe d’un état de sale à un état de propre, presque chaque jour. Cela signifie que je deviens sale. Je m’interroge beaucoup sur ce devenir sale.
À quel moment précis de la journée est-ce que je deviens sale ? Est-ce que je deviens sale en permanence, de façon régulière ? Ou bien est-ce de façon imprévisible que je fais grandir mon facteur sale pendant la journée ? Cela semblerait plus logique, la saleté dépendrait des actions que je mène dans la journée. Mais si je ne fais rien, je deviens quand même sale. Sans rien faire, je me salis. Il faut se rendre à l’évidence, mon corps fabrique du sale et j’ai pour habitude de détruire son travail.
Tous les jours je fais disparaître le sale de mon corps en sachant très bien qu’il reviendra très vite au galop, mais je ne baisse pas les bras. Quand j’ai fini de me laver, je m’essuie dans une serviette propre. Cette serviette est propre parce que je l’ai lavé en machine. J’essuie mon corps propre dan une serviette propre. Et pourtant, avec le temps, cette serviette devient sale. C’est étrange, puisque je suis propre quand je m’en sers, et elle n’a pas d’autre utilisation.
Soit ma serviette accumule le peu de sale qu’à eu le temps de fabriquer mon corps dans l’infime seconde entre ma douche et le moment où je m’essuie. Au fil des jours, ces petits sales additionnés deviennent un vrai sale à part entière. Soit, et c’est plus probable vu la vitesse à laquelle elle le fait, ma serviette devient sale par elle-même, tout comme mon corps se plait à le faire. Ma serviette et mon corps s’entendent bien sur ce point à me faire perdre du temps avec des douches.
Quand ma serviette est sale, je la lave dans une machine. Quand je sors la serviette, elle est propre et je peux m’en servir à nouveau. La serviette devient sale jour après jour, très peu au début, puis beaucoup et un jour je trouve que ce sale dépasse vraiment la limite du sale acceptable et je le détruis grâce à une machine. Ma machine sert à rendre propre les textiles comme une douche le fait pour mon corps. Mais est-ce que cette machine devient sale comme la serviette qui m’essuie ? Si oui, existe-t-il un moyen le laver ma machine pour la rendre propre ? Est-ce qu’une machine sale peut rendre les serviettes propres tout de même ?
Mais si ma machine a la capacité de rendre propre sans se salir, pourquoi n’invente-t-on pas ce même genre de système pour mon corps, relayant la serviette et son petit jeu de saleté très loin dans mon esprit, derrière mes interrogations sur la flûte à bec et son devenir agaçant.
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Répétition folle
Aujourd’hui, c’était sans Alizée.
Voici une nouvelle étape de Drink me, encore bourrée de faute. Léa est fausse sur beaucoup de passages mais nous ne l’avons pratiquement jamais travaillé. En tous cas je suis content il a bien avancé. Et avant de commencer à enregistrer les véritables pistes de l’album, je ferai réaccorder mon piano, c’est obligatoire.
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Mon Capitaine, piano + voice draft
Second step in this work in progress.
Some mistakes, don’t worry, it will be fine.
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